Inventaire
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BERGAMASCHI Isaline



Unités

REPI Recherche et Études en Politique Internationale

Le REPI est une unité de recherche dont les activités principales sont dédiées à la recherche et à l'enseignement en politique internationale à l'Université libre de Bruxelles. Il est rattaché à la Faculté de Philosophie et Sciences sociales et entend poursuivre les activités entreprises par le Réseau d'Études en Politique Internationale auquel il succède. Il promeut des activités de recherche fondamentale entreprises dans le domaine des relations internationales.  Il vise à garantir un encadrement de qualité pour la production scientifique dans ce domaine particulier de la science politique (thèses de doctorat, publications, organisations de séminaires et de colloques...). En fonction de ses ressources disponibles, le REPI peut également être sollicité pour des expertises et des consultations auprès d'institutions nationales ou internationales. Il oeuvre à la diffusion des connaissances sur les sujets de politique internationale auprès du grand public. Il est conçu comme un lieu de réflexion sur les enseignements dispensés dans le cadre du Master en relations internationales organisé par le Département de science politique. L'organisation de formations spécifiques et autofinancées (écoles d'été, Executive Master) fait également partie de ses tâches.  

Directeur : Christian Olsson 

Projets

ACROPOLIS Efficacité de l'aide dans les situations de fragilité

L’objectif d’ACROPOLIS est d’appuyer la prise de décision de la Direction générale Coopération au développement et Aide humanitaire (DGD) de la Belgique. Le programme est financé à la fois par ARES-CCD et le VLIR-UOS. Il rassemble d’une part les acteurs de la DGD, de la Coopération Technique Belge (CTB) ainsi que les autres acteurs gouvernementaux concernés et, d’autre part, des chercheurs d’universités francophones et néerlandophones. Le programme a une durée de trois ans (mai 2014-2017). Les acteurs non gouvernementaux peuvent également être impliqués autour des chercheurs et acteurs politiques. Les groupes de recherche d’ACROPOLIS mènent un travail académique et fournissent des analyses universitaires adaptées aux politiques de coopération au développement belge. L’objectif central poursuivi dans le cadre du programme est la professionnalisation et l'amélioration de la qualité - et donc aussi l'impact - de la coopération belge au développement. En outre, le programme ACROPOLIS souhaite contribuer à la visibilité internationale de l'expertise académique belge en matière de coopération au développement. Trois thèmes sont abordés par les groupes de ACROPOLIS: efficacité de l'aide avec un accent sur les situations de fragilité (Mali, Niger, Rwanda, Burundi et République Démocratique du Congo); L'intégration des thèmes environnementaux et climatiques dans la transition vers le développement durable; Le financement du développement. Ce projet de recherche fait partie du groupe ACROPOLIS Efficacité de l'aide. Il rassemble des chercheurs universitaires et des chercheurs de l'ULB, UCL, Ulg et l'Université de Gand. Les membres de l'ULB impliqués dans ce programme de recherche sont Sidney Leclercq (IPAI), sous la direction du Professeur Barbara Delcourt, et Jessica Martini (Ecole de santé publique), sous la direction du Professeur Bruno Dujardin.

Françafrique and post-colonial mythmaking in West Africa

Did France topple the African leaders of independence? The foundational claim of the Françafrique conceptualisation of post-colonial history is that the French government has orchestrated coups d’état against African leaders who threatened their perceived interests. This idea of French intervention in former colonies has been used to explain the continued survival of the CFA Franc and the recent wave of coups in West Africa. Indeed, since its first use in 1998 as a left-wing critique of French Africa-policy promoted by the “association Survie”, this term has exploded in popularity and has been widely adopted in academic writing. However, despite merits in the activist realm, this key claim has not been weighed against the archival evidence now available. Furthermore, the idea of la Françafrique lacks analytical precision and at its worst has encouraged intellectual short-cuts and a conspiracist tendency to see any major event on the African continent as the result of French meddling. Through an interdisciplinary approach this research will engage this concept head on. This research has two primary objectives: (i) to rigorously and systematically evaluate the key factual claims which underpin the Françafrique concept through newly available archival material; (ii) to explore the genesis and circulation of the idea of la Françafrique and develop a new concept which better reflects the underlying empirical record.