Inventaire
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FORET François



Unités

Centre d'étude de la vie politique

Responsable d'Unité : Oui

Le Centre d’Etude de la Vie Politique (Cevipol) est une unité de recherche de la Faculté de Philosophie et sciences sociales de l'Université libre de Bruxelles, avec une spécialisation en sociologie politique et politique comparée. Ses travaux portent principalement sur la vie politique, les institutions, les acteurs, les règles et ressources des systèmes démocratiques. Les processus d’action, de mobilisation et de légitimation sont étudiés en s’appuyant sur des méthodes tant qualitatives que quantitatives, dans une perspective contemporaine éclairée par la prise en compte de la longue durée. La distribution du pouvoir et des ressources entre groupes sociaux, les formes d’autorité, le recrutement des élites, les conflits d’intérêts, d’appartenances ou de mémoires, le poids des normes et des valeurs sont autant de questions classiques de science politique remises constamment sur le métier par les recherches du Cevipol.

Quatre axes thématiques structurent l’identité intellectuelle du Cevipol :
- Partis, Elections et Représentation
- Intégration européenne : communautés en redéfinition, souverainetés et valeurs en conflit
- Identités, sociétés, pouvoirs en comparaison. Pour une approche qualitative des systèmes politiques 
- Sport et politique



Centre de recherche interdisciplinaire du sport et de l’activité physique

U-IRIS est destiné à fédérer les compétences de recherche existant à l’ULB dans les domaines du sport et de l’activité physique afin de stimuler les collaborations et la recherche interdisciplinaire. La recherche réalisée au sein de U-IRIS pourra être à la base de conseils factuels dans les divers domaines du sport et de l’activité physique. L’ULB et chacun des groupes partenaires de U-IRIS, de même que leurs activités, plateformes, infrastructures et collaborations existantes, gagneront en visibilité, tant interne qu’externe dans un domaine porteur et en pleine évolution.

La recherche portée par U-IRIS se veut tant fondamentale qu’appliquée. Elle se développe autour de cinq axes majeurs : 
- clinique / médecine sportive 
- sport de haut niveau / performance 
- revalidation / handicap et sport 
- sport et société (y compris éducation par le sport) 
- prévention / santé publique / alimentation.

Les groupes participant à U-IRIS représentent les Facultés de Philosophie et Sciences Sociales, de Médecine, de Psychologie et Sciences de l'Education, des Sciences de la Motricité, la Solvay Brussels School of Economics and Management, l’Ecole de Santé Publique, la Cellule Recherche, ULB-Sports et l’Hôpital Erasme.

Projets

ARC - Action de recherche concertée

Voir version en anglais

How Europe defines the ''good god''. The European Union' strategies to advocate freedom of religion and belief and to counter radicalization'' « GOODGOD »

The European Union (EU) has recently emerged as a significant player to promote freedom of religion and belief (FoRB) in its external policy and to build a coordinated approach of counter-radicalization (CR) in internal affairs.On both issues, public authorities at all levels of governance are led to define a ''good religion'' congruent with democratic and social norms to be protected and a ''bad religion'' that must be kept under control. The EU is no exception even if it has no direct competencies on FoRB as well as on CR and meets its usual difficulties to deal with value-loaded issues.The purpose of GOODGOD is to explain the reasons, modalities and effects of this new role of European institutions and arenas; and what is says about the contemporary recombination between the member states and the EU on one hand; between politics and religion on the other hand. The main hypothesis is that what happens at the level of the EU reflects andadapts slightly societal and political trends at work at national level: the 'securitization of religion', managed as a risk factor; its 'culturalization', as a mere symbolic resource to assert the legitimacy of public institutions and collective identity.Overall, it would mean that the EU has a limited transformative influence and is in the continuity of national secularisms and secularization.