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REPI Recherche et Études en Politique Internationale
Le REPI est une unité de recherche dont les activités principales sont dédiées à la recherche et à l'enseignement en politique internationale à l'Université libre de Bruxelles. Il est rattaché à la Faculté de Philosophie et Sciences sociales et entend poursuivre les activités entreprises par le Réseau d'Études en Politique Internationale auquel il succède. Il promeut des activités de recherche fondamentale entreprises dans le domaine des relations internationales. Il vise à garantir un encadrement de qualité pour la production scientifique dans ce domaine particulier de la science politique (thèses de doctorat, publications, organisations de séminaires et de colloques...). En fonction de ses ressources disponibles, le REPI peut également être sollicité pour des expertises et des consultations auprès d'institutions nationales ou internationales. Il oeuvre à la diffusion des connaissances sur les sujets de politique internationale auprès du grand public. Il est conçu comme un lieu de réflexion sur les enseignements dispensés dans le cadre du Master en relations internationales organisé par le Département de science politique. L'organisation de formations spécifiques et autofinancées (écoles d'été, Executive Master) fait également partie de ses tâches. Ses activités scientifiques se concentrent principalement dans deux domaines importants de la politique internationale : l’étude des questions de sécurité et les politiques publiques internationales (environnement, santé, économie internationale, développement, …). Elles se rattachent à plusieurs traditions de recherche et écoles de pensée : étude des processus décisionnels en politique étrangère (foreign policy analysis), sociologie politique de l’international, approches critiques de la sécurité, économie politique internationale, etc. ; l’objectif étant de saisir au mieux les enjeux de pouvoir dans les relations internationales et ce à différents niveaux. Sont également inclus dans l’agenda de recherche l’étude de l’action extérieure de l’Union européenne et des principales institutions internationales. Directeur : Christian Olsson
ADMIGOV aims to promote an alternative migration governance model and takes seriously the principles laid out in the Sustainable Development Goals 2030 (2015), the New York Declaration (2016) and later UN documents. We study how alternative approaches to migration governance can be better designed and put into practice. However, rather than proposing a top-down study of existing migration policies, ADMIGOV studies the reality of existing polices and practices on the ground to improve migration governance in line with the principles set out by the UN. This is the unique analytical feature of ADMIGOV. We bring together analyses of migration governance in practice and in key times and spaces and relate these analyses to the key structuring principles of migration governance as laid out by the UN. This is done to better understand the current gaps between principles and practices and in order to provide insights and recommendations for migration governance in the future. ADMIGOV is methodologically unique. We bring analyses from along the migration ‘chain’, from entry through to exit and incorporating key issues such as labour migration, protection needs and development goals. ADMIGOV has chosen several case studies of key times and spaces in migration governance, including the Greek islands, Lebanon, and Turkey, to better understand the most important and most problematic processes at play. Additionally, through the involvement of the Danish Refugee Council, ADMIGOV has access to possibly the largest dataset on migrants on the move today. The 4Mi data of the Danish Refugee Council will give ADMIGOV access to and help us generate more data than a single research team could normally collect. In short, ADMIGOV is designed to combine the analyses of existing policies and practices on the ground in key times and spaces with the wide- ranging 4Mi data to generate new indicators of good migration governance, helping the EU put the UN principles into practice.
Le projet examine deux questions associées, l’une relative à la transnationalisation du contrôle frontalier et migratoire dans l’espace contemporain des relations internationales, l’autre spécifique au contexte sociopolitique de la Tunisie : comment se réalise en pratique la mise en réseau des acteurs du contrôle frontalier et migratoire, au-delà des prescriptions dont elle peut faire l’objet dans les institutions européennes ? Comment la mise en réseau des acteurs du contrôle frontalier et migratoire s’articule-t-elle avec les évolutions d’un appareil d’État confronté à des transformations sociopolitiques d’ampleur ? Pour répondre à ces questions, le projet envisage de réaliser une cartographie des relations formelles et informelles entre acteurs du contrôle frontalier et migratoire dans le contexte tunisien. Au-delà d’un travail d’inventaire institutionnel des coopérations, des financements, des projets ou des opérations, il s’agit d’analyser de manière fine l’espace social dans lequel se déploient ces relations.